“ J’ai trouvé une entreprise où je me sens chez moi. Quand j’entre dans le Blackstone, c’est comme si j’entrais dans ma deuxième maison.”

Benedic Immobilier, c’est plus de 200 employés. Mais qui sont-ils ? Chaque mois, découvrez le portrait de l’un de nos collaborateurs. C’est l’occasion d’en savoir un peu plus sur nos différents services, mais aussi de rencontrer les membres de la famille Benedic.

Pour le mois de juillet, rencontre avec Jean-Pierre Fischer, notre référent des métiers de la transaction.

Qui es-tu, quel est ton parcours, que fais-tu chez Benedic Immobilier ?

“J’ai obtenu un baccalauréat littéraire, sans télévision, je lis beaucoup. Je suis arrivé chez Benedic Immobilier en 2009 dans le cadre d’une alternance pour un Master en droit immobilier, et je ne suis jamais reparti. Après l’obtention de mon diplôme, je suis resté chez Benedic, en tant que négociateur, puis responsable d’agence et aujourd’hui au poste de référent des métiers de la transaction.”

Qu’est-ce qui t’a attiré dans ce métier ?

“L’immobilier a toujours été une évidence pour moi, et ce, depuis ma plus tendre enfance. Passionné d’architecture contemporaine, deux domaines d’activités s’imposaient à moi : l’architecture ou l’immobilier.

Sous influence familiale (et surtout sans regret), j’ai choisi l’immobilier qui fait partie intégrante de mon ADN.”

Pourquoi Benedic Immobilier ?

“J’ai toujours pris plaisir à consulter les annonces immobilières, notamment des biens de standing. Déposer un CV au Cabinet était une suite logique, car c’est lui qui présentait les plus beaux biens. Aujourd’hui, je ne me verrai pas travailler ailleurs qu’ici, j’ai trouvé une entreprise où je me sens chez moi. Quand j’entre dans le Blackstone, c’est comme si j’entrais dans ma deuxième maison.”

Une transaction parfaite, est-ce que ça existe ?

“C’est devenu rare aujourd’hui, mais fort heureusement, ça existe encore.”

Quel est le super-pouvoir que tu aimerais avoir pour faciliter ton travail ?

“Si je pouvais en choisir un, ce serait d’être Maître du temps.”

Une petite anecdote pour conclure ?

“Un jour, j’ai surpris un de mes mandants en plein adultère. La maison était en vente et libre d’occupation. Je suis arrivé en avance pour l’ouvrir, l’aérer et la parfumer jusqu’à ce que des bruits sans équivoque parviennent à mes oreilles… ”

Au cas où vous l'auriez manqué : notre dernier portrait du mois mettait à l'honneur Emilie Silberreiss, chargée de copropriété.